L’année 2020 est considérée comme une année blanche dans le secteur du tourisme, mais c’est aussi l’occasion de penser au prochain voyage. Aujourd’hui, les voyageurs cherchent des expériences uniques pour leurs vacances, qui font naître de nouvelles habitudes et de nouvelles tendances qui marquent le tourisme de demain.

Partir en voyage pour un séjour plus long

Selon les enquêtes de l’Amadeus, plus de la moitié des voyageurs souhaitent partir en voyage pour un séjour plus long. Ce n’est pas une surprise que le voyage plus long devienne une tendance. Face à la crise sanitaire et aux nombreux protocoles stricts à destination, un séjour plus long permet de compenser l’année écoulée et voyager plus longtemps et plus authentiques.

 

Travailler partout dans le monde

Depuis le début de la crise sanitaire, de nombreuses entreprises ont mis en place le télétravail à temps complet, cette routine stressante pousse les voyageurs à travailler à l’autre bout du monde. Pour éviter de rester chez soi toute la journée et tous les jours, pourquoi ne pas changer un peu d’habitude ? Pour le travail à distance, tout ce qu’il faut, c’est de la disponibilité et de connexion wi-fi, de ce fait, il est possible de travailler à n’importe où. Par exemple, la Barbade, c’est une destination conseillée pour un visa de travailleur nomade, qui permet d’y travailler pendant une année.

Le voyage avec de la technologie sans contact

La technologie peut influencer la capacité des voyageurs à voyager. Dans les aéroports, on trouve le paiement sans contact comme Google Pay, PayPal, Venmo ou Apple, l’enregistrement des bagages et l’embarquement. Depuis la crise sanitaire, la technologie sans contact est devenue une tendance.

Voyager en éco-responsable

Cette tendance n’est pas véritablement nouvelle, il faut privilégier les impacts positifs du voyage, notamment sur la question environnementale, ce dernier prend plus d’ampleur avec la crise sanitaire. Les touristes sont devenus plus consciencieux en s’assurant que leur séjour favorise l’économie locale. Il faut plus de petites empreintes de carbone avec plus de grande solidarité.